Abstract: | Très clairsemée pour la période 1940-1962, la production de pièces de théâtre au Cameroun augmente ensuite régulièrement pour atteindre une moyenne de 30 titres par année à partir de 1970 jusqu'en 1985. S'il y a profusion de pièces à jouer, pourquoi n'en voit-on rien apparaître sur la scène de la ville? Cette question a amené l'auteur à explorer le théâtre de Douala. Elle aborde le barrage financier, la censure, la professionnalisation du métier et la comédie qui, pour l'heure, reste le genre privilégié. Notes, réf. |