Abstract: | La violation des droits de l'homme en Guinée Equatoriale est régulièrement rapportée par la Commission des droits de l'homme de l'ONU et Amnesty International. Le rapport du secrétaire général des Nations unies qui invitait en janvier 1986 le gouvernement Obiang Nguema à respecter et à appliquer rigoureusement les droits de l'homme et les libertés fondamentales était confirmé en mars 1986 par un nouveau projet de résolution de la Commission des droits de l'homme. La question de la Guinée Equatoriale est maintenue à l'ordre du jour de la session 1987. Amnesty International, dans son 'Rapport 1986', mentionne les sérieux problèmes qu'elle rencontre pour s'informer sur ce qui passe en Guinée Equatoriale. Silence et désinformation sont les deux procédés utilisés par la presse, en particulier française, au regard du pays. L'auteur en donne quelques exemples. Notes, ref. |