Abstract: | A la différence des sécheresses antérieures au Mali, celle qui débute en 1972-1973 s'inscrit dans un cycle plus long de régression pluvieuse, accompagné d'une fragilisation intense de l'écosystème. Cette perturbation cyclique entrane aussi un déséquilibre; socio-économique. Depuis l'installation de la famine en 1972-1973, le gouvernement malien n'a engagé aucune action globale. La sécheresse doit être combattue par une mobilisation générale de toutes les énergies maliennes et non par des appels incessants aux autres pays ou aux institutions internationales. |