Abstract: | La structure aux Comores dont la production est tournée vers le secteur primaire où prédomine une agriculture de subsistance et où les services sont en grande partie assurés par les administrations et les entreprises publiques, est particulièrement défavorable à toute croissance élevée. La croissance démographique élevée, les sous-emplois et l'inexistence d'un secteur industriel achèvent le portrait d'un pays sous-développé typique, auquel aucune richesse naturelle ne permet d'espérer une mutation quelconque. Les aspects économiques sont examinés dans l'étude. Notes; tableaux. |